« Qui ne tente rien, n’a rien. » Tout le monde connaît cet adage… mais combien d’entre nous l’appliquons réellement ?
L’erreur, un tabou bien français ?
En France, se tromper reste souvent stigmatisé. Comme si l’échec était une marque d’incompétence plutôt qu’une opportunité d’apprentissage. Et si cette mentalité freinait notre évolution ?
Dans le management, ça donne quoi ?
Les félicitations sont trop rares : « C’est normal de bien faire son travail, non ? »
L’erreur est pointée… mais rarement transformée en enseignement.
Certains managers évitent même de complimenter, de peur que l’équipe ne « se relâche ».
Résultat ? Une pression énorme, un manque de reconnaissance et une incapacité à tirer parti des apprentissages.
Et si on changeait de regard ?
Faire une erreur ne remet pas en cause nos succès passés. Mais encore faut-il savoir en tirer des leçons !
Posez-vous ces questions :
Cette erreur remet-elle vraiment tout en cause ? Annule-t-elle mes succès ou réussites précédentes ?
Qu’est-ce qu’elle m’apprend sur moi, mon travail, mon environnement, mes relations professionnelles ?
Comment puis-je l’utiliser comme tremplin pour la suite ?
Un bon manager ne sanctionne pas l’erreur, il l’accompagne. Il aide à en extraire les apprentissages et à reconnaître aussi les réussites.
Alors, si on arrêtait de diaboliser l’échec pour en faire un véritable levier de croissance ?
Et vous, quelle est l’erreur qui vous a le plus appris ? ![]()

Voir les statistiques et les publicités

Laisser un commentaire